du projet d'un édit avant toutes choses

Citation :

Votre Eminence, je me permets de vous rappeler que vous vous êtes exprimé, peu après l'annonce en ce lieu de la signature du concordat entre les parties débattantes :
ici-même : https://chateau-narbonnais.forumactif.com/discussion-sur-le-concordat-f6/du-projet-d-un-edit-avant-toutes-choses-t4153-45.htm
On a pu vous y entendre par deux fois. (18 mai)
Auparavant, vous aviez pris la parole ici : https://chateau-narbonnais.forumactif.com/discussion-sur-le-concordat-f6/concordat-iiieme-version-t5220-15.htm (11 et 14 mai)
Juste avant vous, le comte natale avait signifié très clairement que la proposition sur laquelle 3 personnes étaient tombées d'accord était en vote au conseil.
Par ailleurs, le concordat a été proposé par mes soins à la nonciature ici : http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=11832&postdays=0&postorder=asc&start=60 (6 mai)

Beuh, au lieu de rendre les choses plus claires, vous m'embrouillez avec votre paperasse !

Citation :

Il me vient quelques questions : Avez-vous lu et surtout relu le concordat ? Avez-vous prété quelconque attention aux propos tenus icelieu ? Imaginiez-vous que quelqu'un d'autre allait se charger à votre place de procéder aux écritures (pour la justice) . Etes-vous donc si impotent - ou si important - que vous ne puissiez rien faire par vous-même lorsqu'il le faut ?

Ma chère consoeur, sil n'y avait que la partie sur la justice ! Mais diantre, les lacunes sont bien plus nombreuses que cela !

Citation :

Etes-vous de ceux-là, juste capables de venir après la bataille, pour critiquer et remettre en cause le travail, pourtant, effectué en votre présence ; même si quelques jours, selon vous, vous ont manqué, je ne pense pas que vous ayez quelque droit, quelque légitimité à venir, après que tous aient signés, nous signifier tout simplement "ah, mais non, mais non ! j'ai manqué trois jours, il faut tout refaire !"

Vous vous méprenez. Si vous aviez agi en personne pondérée et sage, vous auriez tout simplement attendu mon retour avant d'expédier la chose à Rome. Vous avez manqué de diplomatie, reconnaissez-le.

Citation :

Monseigneur ! Par ma foy ! Avez-vous pensé une seule minute à tous nos fidèles, aux toulousains, aux simples paroissiens ? et même... aux.. euh.. Les autres, là !
Voulez-vous réellement, par fierté mal placée, remettre de l'huile sur le feu et repousser -encore- l'entrée de Toulouse dans le sein de notre Eglise d'Aristote ?

Fierté mal placée ? De grâce, soyez lucide. Il s'agit là de principes et de valeurs que je veux promouvoir : la question est de ne pas laisser Rome (et en l'occurrence sa représentante, i.e vous) empiéter sur les prérogatives de l'évêché local.

Citation :

Votre attitude me stupéfie, mon frère. Je me suis laissée dire, il y a peu, que votre nature était par essence indolente et facilement influençable.

Revoyez votre jugement, ma soeur. Mais après tout, vous êtes sans doute de celles qui prêtent foi aux rumeurs. Que ne remplaciez-vous votre cathèdre d'évêque contre le banc de la commère !

Citation :

D'ailleurs, qu'est-ce qui ne vous convient pas dans ce concordat ? Montrez-nous à quel moment votre pensée, votre avis a-t-il été trahi ?

Vous savez lire, ma soeur, du moins je pense... Alors lisez attentivement le prétendu concordat et la troisième version ici présente et vous verrez par vous-même les différences.

Citation :

Enfin ! Ceci dit ! Toute cette discussion est vaine ! Le concordat, comme je vous l'ai dit mille fois est signé entre le temporel et la place de Rome. Ce qui est fait, acté et scellé.

Que nenni. Ce n'est que coutume canonique.

Citation :

Libre à vous, par la suite, de venir demander une nouvelle négociation, si vous trouvez des personnes encore capables de ne point ressentir la fatigue de tout ceci.
Pour l'heure, concordat il y a en province toulousaine !

Si j'en décide ainsi. Si et seulement si. Mais par bonheur, vous avez en face de vous un lescurien, sachant pardonner les erreurs, y compris les vôtres. Ainsi, je ne vais pas insister, pour peu que vous vous repentiez de vos paroles cinglantes et de votre manière d'avoir conclu le concordat dans mon dos, si j'ose dire.

Nous pourrons alors, puisque ma bonté est grande, retrouver de saines relations.

D'autre part, pourriez-vous nous indiquer votre venue à Toulouse afin que nous puissions faire une petite cérémonie commune (je ne suis pas du genre rancunier) pour ce faaaaameux concordat.

Lily qui écoutait et s'instruisait sagement depuis le début de cette conversation... amicale... leva timidement le doigt à la derniere phrase...

Si je puis me permettre d'intervenir.... Si vous avez besoin d'une aide pour l'organisation de cette cérémonie, je suis à votre disposition... N'hésitez surtout pas....

Citation :

Il est plaisir de voir que Monseigneur Hardouin daigne nous faire l'honneur de son auguste présence. Il est juste désolant qu'après un si long silence, que d'aucuns auront certainement jugé préoccupant, il en vienne à se réveiller et se rendre compte qu'il y avait des gens qui travaillaient. Eh oui!

Hardouin se demanda s'il devait encore argumenter et faire entendre qu'il était le principal initiateur puis négociateur de ce concordat depuis des mois, mais il préféra la manière forte :

Taisez-vous !



Puis se tournant vers sa consoeur :

Monseigneur Zoélie, apprenez à vos zélateurs sulbaternes à bien se tenir devant un prélat.

lily-jane a écrit:

Lily qui écoutait et s'instruisait sagement depuis le début de cette conversation... amicale... leva timidement le doigt à la derniere phrase...

Si je puis me permettre d'intervenir.... Si vous avez besoin d'une aide pour l'organisation de cette cérémonie, je suis à votre disposition... N'hésitez surtout pas....

Nous vous remercions, ma fille; nous penserons à vous le moment venu.

Excelsior a écrit:

Monseigneur, voyons, encore une de vos absences qui vous a fait manquer que vous vous adressez en la personne du Procureur du Comté de Tolosa !

Oui et alors, cher admor ? Quel est le problème ? Il est bien curé d'Albi, je crois, non ? Ou confonds-je avec un autre ?

Hardouin a écrit:

Taisez-vous !

Puis se tournant vers sa consoeur :

Monseigneur Zoélie, apprenez à vos zélateurs sulbaternes à bien se tenir devant un prélat.

La jeune femme sursauta dans son somme, réveillée tout soudainement par les paroles virulentes énoncées en ce lieu.
Elle s'était endormie et rêvait, doucettement, à des lieux emplis de prés fleuris et des jeunes enfançons s'ébattant gaiement au son joyeux d'une flute enchantée.
Elle ouvrit les yeux pour découvrir l'évêque d'à-côté, goutteux et atrabilaire qui vociférait à nouveau. Elle ferma les yeux un instant, juste pour voir si sa cauchemardesque vision allait s'évanouir et ... non !
Fichtre soit de la Malepeste qui nous donne encore à entendre le vil faquin déguisé en mitré, se dit-elle pour elle-même ! Prenant la conversation en cours, elle se contenta de se tourner vers son confrère en un charmant sourire :

Mes subalternes, mon frère ? Ciel donc !
Tout homme, toute créature humaine ayant suivi justement le chemin à nous tous donné par Oane, le premier juste, ne vous serait-il pas égal ?
Le poids de votre mitre vous pèse-t-il tant , mon ami, que vous en ayez doublé volume sous vos cheveux.. euh.. gras et sales, d'ailleurs, si je puis me permettre...

Là n'est pas le sujet, certes, mais par dela tous vos voyages et absences, il parait évident que vous n'avez point eu lieu de toilettes et bienséance autant que vous l'auriez du.
Euh... si je puis me permettre une suggestion, dit-elle en pinçant légèrement le nez...Ne pouvez-vous faire mander à notre nouvelle et bienheureuse comtesse, chambrée et hospitalité afin que de vous.. euh.. nettoyer, mon ami ?

Vous nauséabondez, je me dois de vous le dire, sans offense aucune...

La jeune femme ex plein de trucs, évêque, baronne, et toute cette sorte de choses.... Tellement coutumière du protocole et respectueuse des simples affaires temporelles, se tourna alors vers le sire procureur de Toulouse.

Pardonnez lui, messire, de ne pas connaitre les us et coutumes... Il est sans doute très nouvellement introduit en ces milieux politiquest tout autant que diplomatiques.

Elle souriait benoitement mais en fait cachait par la son immense lassitude devant la fatuité des hommes.

Citation :

Bah, ici, Mestre Baronsengir est surtout Procureur, sinon il n'aurait pas eu les clés pour y accéder.

On ne change pas d'équitette selon les endroits. Un clerc est avant tout un clerc.

Citation :

Quant à moi, appelez-moi, Votre honneur.
C'est pas que je sois à cheval sur l'étiquette mais j'ai failli ne point l'être à cause de vous et du coup je me fais un plaisir me faire appeler Votre Honneur en toute occasion.

Votre Honneur ? Si cela peut vous faire plaisir. Vous autres spinozistes, je vous croyais moins friands de ces gourmandises-là...

Citation :

Dites-moi, j'avais une question qui me taraude depuis un bon bout de temps : avez-vous toujours besoin d'avoir un fief dans le Comté de Toulouse, parce que prêter un serment d'allégeance à une autorité temporelle c'est tout d'même fort de tisane, vous ne trouvez pas ?

Bah, ce n'est pas très embêtant, tant que ce serment ne contredit pas mon autre serment sacré.

Citation :

Mes subalternes, mon frère ? Ciel donc !
Tout homme, toute créature humaine ayant suivi justement le chemin à nous tous donné par Oane, le premier juste, ne vous serait-il pas égal ?

Que non point ! Par Aristote, l'égalité n'est aquise que devant le Très-Haut. Notre société d'ici-bas a besoin de hiérarchie. Relisez le Saint Livre. Je peux vous donnez des leçons de théologie, ma soeur...

Citation :

Le poids de votre mitre vous pèse-t-il tant , mon ami, que vous en ayez doublé volume sous vos cheveux.. euh.. gras et sales, d'ailleurs, si je puis me permettre...

Si vous n'avez plus que de telles bassesses pour répondre à mes justes remarques. D'autre part, seriez-vous aveugle que vous ne voyez pas que ma tête est rasée ? Mais bon, je ne vais pas entrer dans votre jeu puéril.

Citation :

Là n'est pas le sujet, certes, mais par dela tous vos voyages et absences, il parait évident que vous n'avez point eu lieu de toilettes et bienséance autant que vous l'auriez du.
Euh... si je puis me permettre une suggestion, dit-elle en pinçant légèrement le nez...Ne pouvez-vous faire mander à notre nouvelle et bienheureuse comtesse, chambrée et hospitalité afin que de vous.. euh.. nettoyer, mon ami ?

Vous vous ridiculez toute seule. Je vous plains ma soeur.

Citation :

Pardonnez lui, messire, de ne pas connaitre les us et coutumes... Il est sans doute très nouvellement introduit en ces milieux politiquest tout autant que diplomatiques.

Maintenant, cela suffit. Baronne. Je vous ai offert à plusieurs reprises ma main secourable, vous demandant même quand vous seriez disponible pour une petite cérémonie. Mais vous avez dépassé les limites.

C'est assez.

Citation :

C'est votre inaction et vos demandes farfelues qui ont fait s'enliser les négociations, portant à plusieurs reprises l'Eglise en porte-à-faux avec Toulouse.

Ah, le blanc-bec me fait maintenant la leçon. On aura tout vu.

Citation :

Il est heureux que des personnes compétentes aient enfin signé ce texte, ce qui aurait pu estre fait en trois fois moins de temps. Tergiverser parce que votre égo ne supporte pas que de par vos absences prolongées, on n'ait pas attendu votre retour parmi les vivants pour finaliser ce concordat, vraiment...

Je me demande ce que nous faisons tous ici, ce concordat a été signé, fin de l'histoire.

Malgré votre désaccord, vous auriez simplement pu être courtois avec moi. je n'ai pas insulté votre mère que je sache. C'en est trop.

Hardouin s'isola un instant et revint avec un parchemin :

Citation :

Nous, Hardouin, archevêque de Toulouse,


Eu égard au comportement puéril, insolent, et vicieux de la baronne Zoélie,

Lui interdisons ainsi qu'à tous ses affidés, à savoir les clercs nommés par elle ou sous son autorité, d'officier, de prêcher ou de célébrer tout sacrement dans notre archidiocèse et en particulier dans nos Eglises et dans la cathédrale Saint Lescure.

Cet interdit prend effet maintenant. La baronne n'est pas la bienvenue dans notre archidiocèse, tout acte de sa part sur le sol toulousain sera considéré comme une ingérence mal venue et repréhensible.

Que Saint Lescure l'aide à retrouver le chemin de la sérénité, celui de la pondération et surtout celui du savoir-vivre.

AMDG



Père Hardouin

LE 16 juin 1457

Puis d'une voix calme, il s'adressa à la comtesse :

Votre Grâce, je serai donc seul à cette cérémonie de signature du concordat. Je vous propose lundi prochain, cela vous conviendrait-il ?

Citation :

Votre Grandeur.

J'espérais que la Comtesse puisse me répondre...

Citation :

Sinon, Monseigneur, en ce qui me concerne je ne suis pas interdit de Cathédrale ???

Des envies de se convertir ? </STRONG>

Hardouin a écrit:

Hardouin s'isola un instant et revint avec un parchemin :

Citation :

Nous, Hardouin, archevêque de Toulouse,


Eu égard au comportement puéril, insolent, et vicieux de la baronne Zoélie,

Lui interdisons ainsi qu'à tous ses affidés, à savoir les clercs nommés par elle ou sous son autorité, d'officier, de prêcher ou de célébrer tout sacrement dans notre archidiocèse et en particulier dans nos Eglises et dans la cathédrale Saint Lescure.

Cet interdit prend effet maintenant. La baronne n'est pas la bienvenue dans notre archidiocèse, tout acte de sa part sur le sol toulousain sera considéré comme une ingérence mal venue et repréhensible.

Que Saint Lescure l'aide à retrouver le chemin de la sérénité, celui de la pondération et surtout celui du savoir-vivre.

AMDG



Père Hardouin

LE 16 juin 1457

Puis d'une voix calme, il s'adressa à la comtesse :

Votre Grâce, je serai donc seul à cette cérémonie de signature du concordat. Je vous propose lundi prochain, cela vous conviendrait-il ?

Katou suivait de loin les débats qui semblait plus a des joutes verbales, ce qui venait fort lassant... puis Monseigneur Hardouin se retira quelque instant, revenant avec un parchemin. Katou en fit la lecture... Monseigneur Hardouin s'adressa plus calme envers la comtesse lui proposant de commencer la cérémonie en début de semaine.

Excelsior, son juge et conseillers reprit le prélat sur le protocole des titres en Toulouse et fit la demande de pouvoir assister a la cérémonie qui se passerait à la Cathédrale...

Hardouin a écrit:

COOOOOOMTEEEEEEESSSSEEEEEEEEE !!!

Monseigneur, que vous soyez le seul représentant de la Sainte Église Aristoclicienne à cette cérémonie, qui en soit ainsi. Je trouve for domage que tous les représentants en sol toulousains n'y soit pas invité, il serait gré de voir l'implication des membres du clergé, mais ce n'est que mon sentiment. Pour Lundi prochain je n'ai rien contre. Voyez avec notre Porte Parole pour les préparations.

Lily écouta les nouvelles interventions, et fut choquée de la décision de Hardouin concernant Zoélie... Elle ne comprenait pas mais se retint de toute remarque...

Monseigneur, comment souhaitez vous procéder pour l'organisation de cette cérémonie?

lily-jane a écrit:

Lily écouta les nouvelles interventions, et fut choquée de la décision de Hardouin concernant Zoélie... Elle ne comprenait pas mais se retint de toute remarque...

Monseigneur, comment souhaitez vous procéder pour l'organisation de cette cérémonie?

Ma foi, nous pourrions organiser une messe en plein air. Puis, à la fin de celle-ci faire laissez les différents protagonistes faire un petit discours avant de signer au yeux de tous le concordat de manière symbolique.

Natale a écrit:

Vous le ratifierez donc Monseigneur ?

Oui, mon fils, oui. D'ailleurs nous souhaitons vivement que vous assistiez à la cérémonie, bien entendu.

Hardouin a écrit:

Ma foi, nous pourrions organiser une messe en plein air. Puis, à la fin de celle-ci faire laissez les différents protagonistes faire un petit discours avant de signer au yeux de tous le concordat de manière symbolique.

Pour la messe en plein air, permettez moi d'émettre une réserve... Pour plusieurs raisons. Tout d'abord je pense qu'il serait mieux de le faire dans la cathédrale (afin de garder une trace de cela, pour les générations futures^^), le lieu me semble plus adéquat.
Ensuite le faire en plein air pourrait comporter des risques, des intrus pourraient vouloir semer le trouble. Je sais que rien ne les empechera de le faire dans la cathédrale, mais peut etre cela les intimidera plus.

Pour les différents protagonistes qui interviendront, pourriez vous me faire parvenir leurs noms?

Et bien Monseigneur nous en serions fort honnoré *éternue un bon coup Aaatchoum !*
Les derniers pollens subsistants nous empêchent cependant de trop oeuvrer à l'exterieur. Nous aviserons donc le moment voulu en fonction de ce que la santé nous dira.

lily-jane a écrit:

Hardouin a écrit:

Ma foi, nous pourrions organiser une messe en plein air. Puis, à la fin de celle-ci faire laissez les différents protagonistes faire un petit discours avant de signer au yeux de tous le concordat de manière symbolique.

Pour la messe en plein air, permettez moi d'émettre une réserve... Pour plusieurs raisons. Tout d'abord je pense qu'il serait mieux de le faire dans la cathédrale (afin de garder une trace de cela, pour les générations futures^^), le lieu me semble plus adéquat.
Ensuite le faire en plein air pourrait comporter des risques, des intrus pourraient vouloir semer le trouble. Je sais que rien ne les empechera de le faire dans la cathédrale, mais peut etre cela les intimidera plus.

Pour les différents protagonistes qui interviendront, pourriez vous me faire parvenir leurs noms?

Ma foi, alors ce sera dans la cathédrale... Entendu. Pour les "protagonistes", ma foi, je ne connais pas vraiment la noblesse locale... Vous pouvez inviter toutes les sommités que vous voulez. Et même tous les toulousains qui veulent

ON en est ou, la ?
C'est quoi l'idée ? On attend le prochain conseil ou bien ?