de l'Eglise et du Conseil Comtal toulousain

seul les conseillers comtaux sont invité à s'exprimer sur la présente demande



suite au discussions sur le précédent chapitre du projet de concordat et au regard de la Grande Charte du Comté de Toulouse il apparaît que :

le Conseil Comtal est limité à 12 conseillers élus par le peuple ou venu en remplacement pour certains.

Que la charge de conseiller comtal implique travail dans les offices (bureaux IG), participation au séances du Conseil Comtal et aux votations etc.

Que rien ne saurait entraver cette légitimité accorder par le peuple du Comtat de Toulouse et par le Roy lui-même.


Que cependant l'Église propose la venue d'un Témoin au sein du conseil comtal.
terme non prévu dans la Grande Charte.
Que le témoin ne peu avoir droit de vote ni apposer son véto et est soumis au devoir de réserve.



Cependant également, outre le fait de demander une place de témoins en une instance, il faut pouvoir justifier de son occupation et de la raison réelle : utilité, tache et de l'importance ou pas dévolue à ce statut de témoin.

Pour ma part, je préférerai d'abord que l'Église justifie ainsi sa position quand à l'utilité de ce témoins.
Je préférerai également que si la demande de témoins est entérinée par vous même, alors plutôt que d'être inscrite sur le concordat, qu'elle soit alors notifiée dans la Grande Charte. Comme cela nous pourrons spécifier et préciser les termes :
témoin
nombre de témoin maximum
droits et devoir au sein du conseil comtal et dans la vie civile
etc.

Citation :

il faut pouvoir justifier de son occupation et
de la raison réelle : utilité, tache et de l'importance ou pas dévolue
à ce statut de témoin.

En vous lisant votre Grandeur, je me suis résigné à voté "non".

Tant que les champs que vous citez ne sont pas définit je ne vois pas en quoi un membre religieux devrait surveiller notre travail au sein du conseil.

Maintenant, il y a peut être des raisons à sa venues, mais je ne les connais pas.

Pour les mêmes raisons que messire Leyoun, j'ai voté non.

Tant que nous ne savons pas la raison de cette présence c'est non.
Quel est l'intérêt d'être au conseil sans aucuns droits de votes ou de veto ?

Pareil j'ai voté non pour les même raisons.

Et si un jour l'église pouvais justifier de la présence d'un témoin je préfèrerais aussi, qu'elle soit notifiée dans la grande charte plutôt que dans le concordat.

Je vote également Non. Aucune précision quant à leur présence et je ne vois pas l'interet d'être au Conseil sans droit de vote.

Citation :

Cependant également, outre le fait de demander une place de témoins en une instance, il faut pouvoir justifier de son occupation et de la raison réelle : utilité, tache et de l'importance ou pas dévolue à ce statut de témoin.

Bah, je l'ai déjà expliqué vingt fois... Cette formulation est ambiguë voire perfide puisqu'elle sous-entend que l'Eglise n'a pas présenté cette justification.
Notre présence permettra le cas échéant de présenter le point de vue aristotélicien sur quelque sujet d'importance. Nous serions une sorte de "conseiller en religion".

Citation :

Je préférerai également que si la demande de témoins est entérinée par vous même, alors plutôt que d'être inscrite sur le concordat, qu'elle soit alors notifiée dans la Grande Charte. Comme cela nous pourrons spécifier et préciser les termes :
témoin
nombre de témoin maximum
droits et devoir au sein du conseil comtal et dans la vie civile
etc.

Mais je n'étais pas contre ces précisions, mais vous avez lancé ce vote prématurément ! Et que la grande charte soit par ailleurs modifiée va sans dire puisque sans modification, le concordat contredirait celle-la. Non, vous êtes bien insidieux Messire Comte...

Citation :

Tant que les champs que vous citez ne sont pas définit je ne vois pas en quoi un membre religieux devrait surveiller notre travail au sein du conseil.

Evidemment, si vous n'avez rien suivi des négociations, je ne comprends pas vraiment pourquoi vous voter, mon brave...

Quant à toutes les autres interventions, elles sont de même nature et prouvent bien, messire comte, du trouble que vous avez causé par cette formulation sournoise.

J'ai voté non pour les mêmes raisons dites par mes collègues

Monsenh, comprenez bien que ma quantité de travail journalière ne me
Permet pas d'accorder une écoute permamente des discutions du concordât.
Simplement nous sommes de bon moutons a qui on demande de venir nous exprimer a travers un vote, de plus est du
Concordat
L'oreille du conseil comtal prête attention a sa religion, c'est une belle chose je pense
Par ailleurs, votre argumentation que vous tenez pour la présence d témoins religieu en sein du conseil reco forte grandement mon vote.
Sur ce
Point je rejoint de très près notre coms.
Un conseiller religieux doit être en dialogue permanant avec le conseil comtal et cela au même titre que notre conseiller diplomatique. Je ne vois pas en quoi nous donnerions davtage d'importance a l'un ou a l'autre

Citation :

Un conseiller religieux doit être en dialogue permanant avec le conseil comtal et cela au même titre que notre conseiller diplomatique. Je ne vois pas en quoi nous donnerions davtage d'importance a l'un ou a l'autre

Comparaison futile ! L'Eglise et son représentant ont bien plus à donner qu'un simple chancelier, homme faillible il faut bien le dire. En revanche, le conseiller en religion aurait avec lui l'incommensurable expertise de notre Eglise et surtout Dieu pour le guider et vous conseiller.

Citation :

Monsenh, comprenez bien que nous avons également un "conseiller es diplomatie" qui n'est autre que le chancelier et qui n'a jamais réclamé tel privilège.

Au contraire de l'Eglise qui le revendique ! L'Eglise elle doit s'immiscer dans la vie temporelle pour garantir la vertu.

Monseuh, comme mes collègues, j'ai voté non.
Au conseil comtal, ne se discute pas que des choses d'ordre spirituel; et sauf votre respect les membres de l'EA ne jurant pas défendre notre comté, ne lui prêtant allégeances ni à lui ni à son Coms; vous comprendrez que nos intérêts peuvent diverger.

Vos dites défendre un intérêt universelle; le conseil, quant à lui n'a pas cette prétention, il s'évertue à défendre l'intérêt du comté... A un moment où à un autre, il peut y avoir un conflit d'intérêt; et rien ne nous dit que, ayant accès à toutes nos stratégies vous ne vous en serviez contre nous, légitimement, je vous le concède.

pour ma part, un accès privilégié serait souhaitable, où nous pourrions vous exposer nos projets afin de recueillir votre avis, le cas échéant... ou alors, où vous pourrez nous demander plus d'explication sur tel ou tel aspect de la politique comtale....

Je suis d'avis que nous gagnerions à avoir un conseiller réligieux; mais comme tout conseiller, il n'a accès qu'aux offices où l'on a besoin de lui, pas partout...