[RP] Arrivée de Majda_eulalie

Invité

Enfin libérée pour quelques temps de ses obligations, Majda se repose, et en profite pour voyager et découvrir un peu le comté voisin. Accompagnée de l'homme qui fait battre son coeur, et sous la surveillance étroite de Siolet, garde du corps et chaperon que son baron de père lui a collé aux chausses, elle se présente devant les grilles du château.

Loin d'être une visite officielle, elle voudrait juste pouvoir visiter les jardins. Quirin lui en a parlé, lui qui semble déjà connaître Toulouse.

La beauté des lieux avoisinants le château la laisse impressionnée. La campagne environnante est tellement belle. Laissant sa garde du corps aller prévenir que la Dame de Couffoulens souhaiterait pouvoir entrer, Majda patiente, cherchant des yeux Quirin. Il flânerait par les rues ?

Une lueur d'espièglerie dans les yeux, elle cherche un tour pendable à lui jouer...

Invité

En retard, il était en retard, il avait donné rendez-vous, mais par traitrise un paire d'heures avait surgit de nulle part et fait obstacle au Mendois. N'écoutant que son courage il sortit son épée et commença à battre ce temps inconnu, mais rien n'à faire il ne parvint à le tuer... Il devait s'y prendre autrement, s'armer de ruse, de patience peut-être. Il examina donc ce paquet de temps, comment en venir à bout, démonter l'édifice en prenant chaque minute l'une après l'autre, comptant les secondes, afin qu'à l'arrivée ne rien avoir perdu de ce temps, surement précieux à celui qui l'avait perdu ?

Elle devait tourner en rond ou marcher de long en large en l'attendant, sous le regard de Siolet, il devait se hater, vite vite, courrir vers le château dont on lui avait vanté les jardins, et qu'à son tour il avait, sans les connaître plus que de réputation, proposés à Majda.

ça y est la forteresse se dressait enfindevant lui, majestueuse, ecrasante,plus que quelques foulées et il serait enfin là, le temps de le dire et oui, elle était là, sa perle, sa raison de vivre, la Donaisèla Shaggash.

Dire qu'il était éssoufflé serait mentir, bien trop entrainé le sergent pour perdre son souffle en même temps que son temps, mais quand même une, deux peut-être ? - pas le temps de les compter - , gouttes de sueurs perlaient à son front.

Ah Majda ma douce, j'espère ne point vous avoir trop fait attendre, figurez vous qu'une perte de temps, m'accapara une partie du mien, veuillez m'en pardonner.

[édit pour autographe.... vous en voulez un ?]

Invité

Siolet maugréait après le "bellâtre" à cause de qui elle aurait mal aux pieds, et ne comprenait vraiment pas la patience de sa maîtresse. N'importe qui d'autre aurait été reçu par une bonne engueulade. La p'tite chieuses des Shaggash semblait vraiment sur un nuage. Bougonnant toujours, elle revenait, suiviant la mioche de près. Pas le moment qu'elle se perde la gamine, l'baron s'rait furieux.

Souriante, alors qu'elle venait de terminer le dixième tour du château, pas vraiment essouflée, étant donné l'entraînement qu'elle avait suivi à la caserne d'Exat, Majda le voit arriver avec joie.

Bonjorn meù àngel.

Elle rit à son explication un peu tordue, amusée qu'il arrive à trouver de tels arguments.

Vraiment ? Pour notre part * regard à Siolet *, nous en avons profité pour pour visiter un peu, et perfectionner notre endurance.

N'est-ce pas Siolet ?

Voyant que sa chaperonne bougonne encore, Majda rit, décidemment, elle est drôle quand elle peste. elle lui rappelle elle-même il y a encore quelques jours, arpentant les couloirs de Montpellier...

Entrons-nous, meù àngel ? Je crois que les gardes nous laisseront au moins visiter le jardin, non ?

Nombre de messages : 3518 Date d'inscription : 22/04/2008

Russo avait reçu la missive lui annonçant la visite de Quirin, accompagné de Majda, sa promise. Elle aurait du les rejoindre à Castel, mais n'avait pas pu, retenue par des affaires militaires. Vanyel avait alors organisé une visite des jardins du chateau, et réussi à tirer le Coms de ses parchemins, de ses bouliers et de son armure.

Un page l'ayant prévenue, Russo arriva à la grille, renvoyant le petit page chercher la crevette.

Bonjour Quirin. Vous devez être Majda, je présume.
La route a été bonne ?

Invité

Au sourire de Majda, il eut bien l'impression que ses explications lui semblaient pour le moins étranges, et pourtant.. Mais quel tour avait-elle joué à Siolet pour que celle-ci leur lance un regard si noir... Elle n'était pourtant pas méchante femme, juste consiencieuse dans la mission confiée à elle par le baron...

Vous avez raison mon coeur, avançons nous vers le jardin, je ne pense pas que les gardes y trouveront à redire

En lui même Quirin se dit que les fleurs risquaient de lui paraitre bien ternes mises en présence de la merveilleuse donaisèla qui l'accompagnait, mais qu'il serait plaisant de s'y promener en sa compagnie

Mais il n'avaient pas fait un pas qu'arrivait la Comtessa de Tolosa, grande dame s'il en est et non moins grande amie du sergent Mendois

Russo ! Pardon, Comtessa, bonjorn !

La route a été bien calme, mercé, et oui, il s'agit bien de la douce personne dont je vous ai entretenu par pigeon. Majda, je vous présente, mon amie Dona Russocarine, Coms de Toulouse

Nombre de messages : 2152 Date d'inscription : 22/04/2008

Elle avait croisé Quirin à Castel, avait eu l’occasion de lui parler, à lui et Majda. Ils étaient en visite, cela lui en rappela une proche et lointaine à la fois, et elle avait parlé des jardins. Puis, plus tard, en discutant avec Russo, elles avaient décidé de les retrouver là-bas.
Seulement voilà, elles n’avaient pas été d’accord.
« mais Russo, en balade dans l’après-midi je te dis que c’est des biscuits pour faire une pause et grignoter »
« non je veux du saucisson au foie gras »
Pas moyen de lui faire démordre de cette extravagante idée. Ainsi, pour le jour de la visite, elle s’était munie de ballotins de biscuits, mais sa mémoire étant sélective, avait complètement omis la demandée charcuterie et s’en rappela au dernier moment. C’était malin, heureusement que le marché de Toulouse n’était pas trop loin, il n’empêche que cela lui fit faire un détour et, forcément, expliquait qu’elle ne soit pas ponctuelle… comme d’habitude en somme.
Vers les abords du château, elle se fit attraper par un page qui cherchait une crevette…humpf
…
…
Un ordre du Coms, à n’en pas douter. Il lui indiqua où trouver ledit Coms, et sans doute Quirin et Majda. Petit merci, avec une pointe de note fataliste dans la voix avant de reprendre son chemin et d’arriver.

Bonjorn Quirin, Majda et Russo

Comment allez vous ? .. je suis la dernière ?

Question purement rhétorique qui tenait lieu de constat…

Invité

A peine eu le temps de taquiner Quirin, que voici Donà Russo qui arrive. Quirin lui en a déjà parlé, et souhaitait la lui présenter. Souriant, voyant que la Comtessa de Toulouse a déjà entendu parlé d'elle, elle jette un petit coup d'oeil espiègle à celui qui fait battre son coeur, l'air de dire : dites-donc, vous, je vous retiens sur ce coup-là ! et se tourne vers la comtesse et d'une révérence la salue.

Bonjorn Comtessa. Enchantée de faire votre connaissance. Le voyage s'est très bien passé en effet.

Puis voilà que se présente Vanyel. Ayant déjà eu le plaisir de faire sa connaissance, Majda rit doucement en lui répondant, bien décidée à la l'embêter un petit peu :

Bonjorn Donà Vanyel. Il semble oui que vous soyez la dernière. Vous seriez-vous perdue dans le dédales des rues ?

Riant sous cape, se disant qu'elle-même a bien failli, et est partie très tôt de l'auberge en compagnie de Siolet, pour être sûre de ne pas être la dernière, Majda contient un fou-rire qui la gagne, se mordant les joues comme le fait si souvent sa mère.

Regardant sa garde du corps, elle lui fait signe de l'attendre à l'extérieur, quoi qu'il arrive. Elle ne pense pas risquer grand chose en compagnie d'une comtessa, d'une vicomtesse et d'un sergent de l'Ost.

Invité

Une autre de ses grandes amies, la vicomtesse Vanyel, arrivait surement attardée, comme parfois, par la cuisson d'une fournée des meilleurs biscuits du Royaume, tache que malgré la présence de petit personnel dévoué, Vany aimait bien à surveiller, enfin le Mendois le supposait. C'est avec un sourire maintenant ne pouvant le quitter que Quirin accueillit la Dame de Prume, comment pourrait-il en être autrement, entouré qu'il était maintenant de celle qui faisait battre son coeur, et de deux de ses meilleurs amies. Sourire qui s'accentua en entendant Majda la taquiner.

Nombre de messages : 2152 Date d'inscription : 22/04/2008

Sourire ingénu à Majda

Me perdre dans le dédale des rues Toulousaines? Je ne vous servirai pas une si piètre excuse pour expliquer mon retard… pas quand je peux en rejeter la faute sur notre Coms ici présent.

Sourire tout à fait innocent à Russo avant que celle-ci ne puisse seulement commencer à protester elle continue.

Voyez-vous nous avons eu un différent elle et moi sur ce qu’il convient d’apporter pour une légère collation, dans un coin de jardin que nous trouverions à notre goût… elle tenait absolument à ce que je prenne du saucisson au foie gras.. seulement, n’ayant pas du tout l’habitude de penser à cela, c’est en chemin que je me suis rendue compte de mon atroce oubli.
Il m’aura fallu réparer cela au plus vite, bien qu’il m’en ait coûté du temps.

D’ajouter à voix certes plus basse mais exprès pas suffisamment pour que Russo n’entende pas

Je ne voudrais pas manquer à mes devoirs d’aide envers mon Coms, cela me ferait bien horrible réputation de ne pas réussir à lui apporter ce qui lui convient comme en-cas. Enfin j’ai aussi des biscuits, ce n’est un mystère pour personne que je préfère les douceurs …

Et de prendre le chemin vers les jardins, qui commençaient doucement à renaitre.

Nombre de messages : 3518 Date d'inscription : 22/04/2008

Enchantée Majda, enchantée. Ahhh, s'il ne vous avait pas rencontrée, Quirin serait peut être venu s'établir ici. Il aurait pu gouter à notre cassoulet, notre omelette aux truffes, nos cuissots de sanglier, notre paté d'ours, nos rougets du tarn, notre vin de Gailhac, nos respounchouns, nos cèpes, et moultes autres spécialités goûteuses de notre région.
D'ailleurs nous devrions prendre une légère collation après la visite des jardins, le grand air creuse.

Sur ces entrefaites Vanyel arriva
ahh oui, j'allais oublier la saucisse au foie gras, un délice vous verrez.

Alors qu'ils se dirigeaient vers les jardins Russo gromellait
gnagnagna la fôte au Coms, gnagnagna devoir d'aide ...
Le nombre de personnes qui pouvaient parler à Russo ainsi sans la mettre en colère et finir au cachot se comptaient sur les doigts d'une demie-main. Vanyel en faisait partie et depuis longtemps.
gnagnagna, pis elle est où la sauce béarnaise pour tremper mes saucisses...