Iurek, digne représentant de Foix et, par la grâce de Dieu, encore pratiquant de respiration et de station debout, s'avanca vers les portes du chateau de Toulouse.
Certes, il n'était guère reluisant, dans ses haillons rapiécés et sa tenure sale, et la hache a son côté n'était pour rien arranger : elle inquiétait plus qu'elle ne rassurait sur son compte.
Tête droite et fière, comme il convient aux nordiques. Il avançait, sa tignasse sale en queue de cheval a l'arrière de son chef, ses haillons brossés de neuf, et s'arrêta devant les gardes .
"Messieurs, je souhaite être introduit dans le chateau pour rencontrer Messire le Juge, conformément à ce que m'a conseillé Messire le Porte Parole."