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| | sauvegarde guide législatif | |
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Saradhinatra
Nombre de messages : 1591 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: sauvegarde guide législatif Lun 30 Mar 2009, 12:03 | |
| Etagère Chartes, codes, livre de lois Etagère des décrets toulousains en vigueur Etagère des arrêtés municipaux d'Albi Etagère des arrêtés municipaux de Castres Etagère des arrêtés municipaux de Castelnaudary Etagère des arrêtés municipaux de FoixArrêtés municipaux en vigueur à Albi Arrêté municipal n°2, entré en vigueur le 4 décembre 1456 - Citation :
- Nous, la Chambre des Capitouls d'Albi, après avis favorable de la majorité du Conseil Municipal, arrêtons ce qui suit
Article 1 : Les prix suivants sont les prix maximums à ne pas dépasser sous peine de se voir poursuivi pour escroquerie. maïs 3.70 Blé 13.20 légumes 10.50 Lait 10.50 Poisson 19.00 Viande 18.50 Quintal de carcasse de vaches 32.00 Demi quintal de carcasse de cochons 16.00 Laine: 13.00 Peaux 16.00 farine 15.50 Pain 6.60
Article 2 : Seule la mairie peut vendre plus cher. Dans ce cas les produits seront reconnaissables à leurs prix (1 ou 6 deniers)
Article 3 : Le poisson vendu en dessous de 18.00 écus est réservée à la mairie.
Fait à Albi le Ier jour de décembre MCDLVI
Chambre des Capitouls d'Albi Arrêté municipal n°3, entré en vigueur le 19 juin 1456
- Citation :
- Nous, Ladypassion, Maire d'Albi, après avis favorable de la majorité du Conseil Municipal , arrêtons ce qui suit :
Arrêté municipal n° 3 du 18 juin 1456 concernant les marchandises réservées de la maréchaussée
Article unique : Toute personne se portant acquéreur de marchandises mises en vente par la maréchaussée d'Albi en vue d'un règlement à l'amiable d'une affaire d'escroquerie ou d'esclavagisme se verra poursuivie pour entrave à la justice. Elle se verra condamnée : - à restituer la/les marchandises dans les 24 heures - à payer à la maréchaussée dans les 24 heures une amende correspondant à 25 % de la valeur de la/des marchandise(s) réservée(s) qu'elle a acheté. En cas de refus, elle sera poursuivi devant la justice du comté pour trouble à l'ordre public.
Fait à Albi le XVIII jour de juin MCDLVI
Ladypassion Maire d'Albi Arrêté municipal n°4, entré en vigueur le 4 décembre 1456 - Citation :
- Nous, la Chambre des Capitouls d'Albi, après avis favorable de la majorité du Conseil Municipal, arrêtons ce qui suit
Article 1 : Le minerai de fer est exclusivement vendu par la mairie. Nulle autre personne ne peut vendre de fer à Albi sans l’accord écrit du maire.
Article 2 : Le bois est exclusivement vendu par la mairie. Nulle autre personne n'est autorisée à vendre du bois sans l'accord écrit du maire.
Article 3 : Le bois et le fer sont exclusivement réservés aux artisans albigeois qui en ont l’usage. De la même manière, les pelotes de laine et les peaux sont exclusivement réservées aux artisans tisserands albigeois. Nulle autre personne n’est en droit d’en acheter sans l’accord écrit du maire.
Article 4 : Les fruits sont principalement vendus par la mairie. Seuls les Albigeois sont autorisés à vendre des fruits sur notre marché, au prix maximum identique à celui des légumes. Prix fixés par l'arrêté n°2. Toute personne non albigeoise devra demander au maire et attendre son autorisation écrite avant de vendre des fruits sur notre marché.
Article 5.1 : Toute personne étrangère à la ville d'Albi voulant vendre sur le marché d'Albi devra en demander l'autorisation au maire et attendre sa réponse avant de mettre ses produits en vente. Une personne représentant le Comté ou dûment mandatée par celui-ci n’est pas soumise à cette restriction. Elle devra toutefois s’annoncer au maire ou à défaut, à un des capitouls.
Article 5.2 : Toute personne étrangère à la ville d'Albi voulant acheter sur le marché d'Albi devra en demander l'autorisation au maire et attendre sa réponse si ses achats dépassent l'équivalent de nourriture pour 5 jours.
Article 6 : Les produits vendus à 1 écu par la mairie sont strictement réservés aux gagnants des jeux organisés par la ville d'Albi.
Article 7 : Toute personne ne respectant pas cet arrêté sera poursuivie devant la cour de justice pour escroquerie ou trouble à l'ordre public.
article 8: Le pain vendu à 2 écus, par la mairie ou par un particulier, est strictement réservé aux vagabonds et à nul autre. Toute autre personne s'en portant acquéreur sera poursuivi pour escroquerie. (validé le 27 fevrier 1457)
Fait à Albi le Ier jour de décembre MCDLVI
Chambre des Capitouls d'Albi Articles à utiliser selon les cas d'infraction[Faites éditer, chercher votre cas, ensuite copier tous le texte entre les balises [ quote] et [ /quote] et coller le tout dans le dossier à l'emplacement prévu]Cas d'infraction de type économique En cas d'esclavagisme - Citation :
- Décret :
Décret n°III-1 du Vingt et dos Abrial de la annada MCDLVI portant application d'une grille de salaire :- Spoiler:
A compter du jour de parution dudit décret n°III-1 portant application d'un grille de salaire, il est édicté que ladite grille de salaire s'applique de plein droit sur tout le territoire du Comtat de Tolosa.
Ladite grille de salaire porte les salaires à la valeur suivante : - Mine : 15 écus - Embauche : 15 écus pour 0 à 4 points de compétence - Embauche : 18 écus pour 5 à 14 points de compétence - Embauche : 20 écus pour 15 à 20 points de compétence - Milice : 15 écus - Armée : 18 écus
Nul ne peut embaucher à un salaire inférieur à la grille ci-dessus.
Tout manquement sera constitué en infraction justiciable devant la Còrt de lo Palàtz de Justiça au motif d'esclavagisme. Du Coutumier : Art. 123-2 – De l’esclavagisme
- Spoiler:
L’esclavagisme se définit comme l’embauche d’un salarié agricole à un salaire inférieur au salaire minimum fixé par le Comté. L’esclavagisme est punissable d’une amende de 50 écus.
En cas de non respect d'une grille de prix maximum - Citation :
- Décret :
Arrêté municipal en vigueur (mettre seulement la grille des prix maximum)
- Spoiler:
Du Coutumier : => Art. 122-21 – De l’escroquerie
- Spoiler:
L'escroquerie se définit comme le fait de vendre des produits dans le but de retirer un bénéfice personnel au détriment de la communauté, ou de tromper autrui sur la marchandise vendue. =>Art. 123-1 – Du champ d’application des contraventions
- Spoiler:
Les contraventions sont les infractions aux arrêtés municipaux, dont le texte est obligatoirement repris sur l’affichage municipal et au bureau de police local. De nouvelles infractions peuvent être créées par les mairies, après autorisation du conseil comtal. Sauf les cas particuliers ci-dessous, les contraventions sont punissables d’une amende de cent (100) écus.
En cas de vente non autorisée - Citation :
- Décret :
Arrêté municipal en vigueur
- Spoiler:
Du Coutumier : => Art. 122-21 – De l’escroquerie
- Spoiler:
L'escroquerie se définit comme le fait de vendre des produits dans le but de retirer un bénéfice personnel au détriment de la communauté, ou de tromper autrui sur la marchandise vendue. => Art. 123-1 – Du champ d’application des contraventions
- Spoiler:
Les contraventions sont les infractions aux arrêtés municipaux, dont le texte est obligatoirement repris sur l’affichage municipal et au bureau de police local. De nouvelles infractions peuvent être créées par les mairies, après autorisation du conseil comtal. Sauf les cas particuliers ci-dessous, les contraventions sont punissables d’une amende de cent (100) écus.
En cas d'achat de marchandises réservées
- Citation :
- Décret :
Arrêté municipal en vigueur :
- Spoiler:
Du Coutumier : => Art. 122-21 – De l’escroquerie
- Spoiler:
L'escroquerie se définit comme le fait de vendre des produits dans le but de retirer un bénéfice personnel au détriment de la communauté, ou de tromper autrui sur la marchandise vendue. => Art. 123-1 – Du champ d’application des contraventions :
- Spoiler:
Les contraventions sont les infractions aux arrêtés municipaux, dont le texte est obligatoirement repris sur l’affichage municipal et au bureau de police local. De nouvelles infractions peuvent être créées par les mairies, après autorisation du conseil comtal. Sauf les cas particuliers ci-dessous, les contraventions sont punissables d’une amende de cent (100) écus.
Art. 123-3 – De l’achat de marchandises réservées :
- Spoiler:
L’achat de marchandises réservées se définit comme l’acquisition en contravention avec un arrêté municipal de biens particuliers à un prix spécial dans le cadre d’un contrat municipal ou de la mission quotidienne de surveillance des marchés confiée à la maréchaussée. Pour être considérée comme réservée, toute marchandise doit être signifiée en affichage public. L’achat de produits réservés est punissable d’une amende de 100 écus augmentée de la différence entre le prix de rachat normal et le prix spécial du contrat municipal.
=> Art. 123-4 – De l’achat de marchandises stratégiques
- Spoiler:
L’achat de marchandises stratégiques se définit comme l’acquisition par une personne non qualifiée pour son acquisition de marchandises stratégiques réservées, dont la liste est publiée par le Comtat ou la mairie. L’achat de marchandises stratégiques est punissable d’une amende de 100 écus, ainsi que de la restitution de l’ensemble des marchandises.
En cas de spéculation - Citation :
- Décret : RAS
Du Coutumier : => Art. 122-23 – De la spéculation
- Spoiler:
La spéculation se définit comme toute démarche visant à acheter une marchandise pour la revendre plus cher sur le même marché, dans le but de dégager une marge bénéficiaire au détriment de l'intérêt public. La marge bénéficiaire est constatée arithmétiquement, sans nulle considération de l’utilisation par le spéculateur de cette marge bénéficiaire. La spéculation est punissable de trois jours de prison et d’une amende de 10 écus augmentée de dix fois la différence entre le prix d’acquisition et le prix de revente. En cas de spéculation de masse ou dans l’impossibilité d’établir une liste de toutes les transactions frauduleuses, une amende forfaitaire de deux mille (2 000) écus peut être prononcée.
En cas de déstabilisation du marché - Citation :
- Décret : RAS
Du Coutumier : => Art. 122-22 – De la déstabilisation de marchés
- Spoiler:
Toute tentative de déstabilisation des marchés, qu'elle corresponde à l'achat total ou d'une quantité suffisant à créer une pénurie, visant à faire grimper artificiellement les prix par la concurrence des demandes, ou par l'introduction massive, dont la quantité est laissée à l'appréciation du juge, de denrées et marchandises à des prix largement inférieurs aux prix en vigueur, dans le but de faire chuter les prix au détriment de la communauté, est punissable d'une peine de deux (2) jours de prison et de 400 écus d'amende.
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| | | Saradhinatra
Nombre de messages : 1591 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: Re: sauvegarde guide législatif Lun 30 Mar 2009, 12:04 | |
| Articles à utiliser selon les cas d'infraction - Suite [Faites éditer, chercher votre cas, ensuite copier tous le texte entre les balises [ quote] et [ /quote] et coller le tout dans le dossier à l'emplacement prévu]Cas d'infraction de type sécurité En cas de brigandage - Citation :
- Décret : RAS
Du Coutumier : => Art. 121-5 – Du vol
- Spoiler:
Le vol se définit comme tout agissement visant à obtenir la propriété de marchandises en s’en emparant contre le gré d’une personne par la force ou par la ruse. Le vol est punissable d’un jour de prison et de mille (1 000) écus d’amende, ainsi que de la restitution de l’ensemble des biens volés.
En cas de lance illégale
- Citation :
- Décret :
=> Décret n°IV-2 relatif à la constitution de lances étrangères sur le territoire du Comtat de Tolosa.
- Spoiler:
Article unique - De l'interdiction des lances étrangères sur le territoire du Comtat de Tolosa. Le décret est ainsi rédigé :
". A compter de ce jour, sont interdits : a) Toute armée autre que l'armée comtale du Comtat de Tolosa sur le territoire du Comtat de Tolosa, sauf accord expressément signifié de l'Etat-major. b) Toute lance ou corps d'armes menés ou comprenant des membres étrangers ou ayant un casier judiciaire dans toute province du royaume de France et des royaumes étrangers.
. Tout groupe armé temporairement autorisé à sillonner les routes du Comtat de Tolosa doit prêter serment de ne pas nuire aux intérêts du Comtat et doit indiquer son positionnement ainsi que sa composition quotidiennement au Baile de la Marescalciá.
. La présence non-autorisée de tels groupes constitue une infraction relevable du délit de Trouble à l'Ordre Public.
. En cas de refus de dissolution, de soumission au serment et au rapport, ou de récidive, le groupe armé sera considéré comme hors-la-loi et tous ses membres seront déférés devant le parquet pour Trahison.
. Le décret s'applique à tout groupe armé présentement constitué sur les terres du Comtat de Tolosa".
Fait en Tolosa, le nòu de Mai de la annada MCDLVI, Promulgué par Carles de Castèlmaura, Coms-regent de Tolosa => Complément au décret n°IV-2 :
- Spoiler:
A compter de ce jour, nous déclarons que le décret du 10 mai relatif à l'interdiction de constitution de lances étrangères sur le territoire du Comtat de Tolosa est étendu aux lances crées et constituées par les sujets du Coms de Tolosa. Tous doivent s'astreindre à la procédure de régularisation des lances, sous peine d'être justiciable.
Fa dins lo castèl de Tolosa par nous, Carles de Castèlmaura, Coms de Tolosa, lo dètz-e-nòu junh de la annada MCDLVI Du Coutumier : =>Art. 121-3 – De la trahison
- Spoiler:
La trahison se définit comme tout acte d’opposition au roi et aux représentants légitimement élus du Comtat (membres du conseil comtal et maires), dont il existe plusieurs sortes : Les actes de rébellion se définissent comme l’organisation d’une attaque non légitime contre le Comté ou une mairie. Pour être légitimes, les attaques contre les mairies doivent avoir été approuvées par le Conseil comtal et les attaques contre le Comté validées par la procédure indiquée à l'article XVII de la Charte du Comté, ou par l'Etat-major en cas de prise d'assaut du château par des troupes extérieures au Comtat. Les actes d’espionnage se définissent comme la recherche d’informations stratégiques dans le but de nuire au Comtat de Tolosa ou aux villes qui le constituent. L'aide aux armées ennemies présentes sur le sol du Comtat de Tolosa se définit comme le soutien militaire ou logistique fourni par tout sujet Toulousain à une armée non reconnue par Tolosa ou qui ne lui soit pas alliée. Cette aide peut prendre, entre autres, la forme de l'embrigadement, de l'aide à l'organisation de l'armée par la fourniture de PEA, de la fourniture d'armes, de trésorerie ou de vivres à prix préférentiel.
La trahison est punissable de six jours de prison et de mille (1 000) écus d’amende, ainsi que du bannissement du Comté.
En cas de prise de mairie non réussie - Citation :
- Décret : RAS
Du Coutumier : =>Art. 121-3 – De la trahison
- Spoiler:
La trahison se définit comme tout acte d’opposition au roi et aux représentants légitimement élus du Comtat (membres du conseil comtal et maires), dont il existe plusieurs sortes : Les actes de rébellion se définissent comme l’organisation d’une attaque non légitime contre le Comté ou une mairie. Pour êtrelégitimes, les attaques contre les mairies doivent avoir été approuvées par le Conseil comtal et les attaques contre le Comté validées par la procédure indiquée à l'article XVII de la Charte du Comté, ou par l'Etat-major en cas de prise d'assaut du château par des troupes extérieures au Comtat. Les actes d’espionnage se définissent comme la recherche d’informations stratégiques dans le but de nuire au Comtat de Tolosa ou aux villes qui le constituent. L'aide aux armées ennemies présentes sur le sol du Comtat de Tolosa se définit comme le soutien militaire ou logistique fourni par tout sujet Toulousain à une armée non reconnue par Tolosa ou qui ne lui soit pas alliée. Cette aide peut prendre, entre autres, la forme de l'embrigadement, de l'aide à l'organisation de l'armée par la fourniture de PEA, de la fourniture d'armes, de trésorerie ou de vivres à prix préférentiel.
La trahison est punissable de six jours de prison et de mille (1 000) écus d’amende, ainsi que du bannissement du Comté.
En cas de prise et de pillage de mairie
- Citation :
- Décret : RAS
Du Coutumier : =>Art. 121-3 – De la trahison
- Spoiler:
La trahison se définit comme tout acte d’opposition au roi et aux représentants légitimement élus du Comtat (membres du conseil comtal et maires), dont il existe plusieurs sortes : Les actes de rébellion se définissent comme l’organisation d’une attaque non légitime contre le Comté ou une mairie. Pour êtrelégitimes, les attaques contre les mairies doivent avoir été approuvées par le Conseil comtal et les attaques contre le Comté validées par la procédure indiquée à l'article XVII de la Charte du Comté, ou par l'Etat-major en cas de prise d'assaut du château par des troupes extérieures au Comtat. Les actes d’espionnage se définissent comme la recherche d’informations stratégiques dans le but de nuire au Comtat de Tolosa ou aux villes qui le constituent. L'aide aux armées ennemies présentes sur le sol du Comtat de Tolosa se définit comme le soutien militaire ou logistique fourni par tout sujet Toulousain à une armée non reconnue par Tolosa ou qui ne lui soit pas alliée. Cette aide peut prendre, entre autres, la forme de l'embrigadement, de l'aide à l'organisation de l'armée par la fourniture de PEA, de la fourniture d'armes, de trésorerie ou de vivres à prix préférentiel.
La trahison est punissable de six jours de prison et de mille (1 000) écus d’amende, ainsi que du bannissement du Comté.
=> Art. 121-6 – Du pillage de biens publics
- Spoiler:
Le pillage de biens publics se définit comme l’action d’obtenir la propriété de marchandises appartenant au Comtat ou aux mairies contre leur gré, en s’en emparant par la force ou par la ruse, notamment après révolte, ou confiés en vue d’échanges économiques. Le pillage est une trahison punissable de cinq jours de prison et de mille (1000) écus d’amende, ainsi que de la restitution de l’ensemble des biens volés.
Cas d'infraction divers En cas de non respect de la loi d'éligibilité - Citation :
- Décret : Loi sur l'éligibilité en vigueur le 22 décembre 1456
- Spoiler:
Toute personne désireuse d'offrir son nom aux suffrages des électeurs du Comtat de Tolosa doit satisfaire aux conditions suivantes :
- Ne pas être frappé d'une mesure de bannissement ou d'inéligibilité
- Pour
toute élection municipale, résider dans la ville de sa candidature depuis trente (30) jours révolus et y posséder un bien immeuble au plus tard la veille de l'ouverture des bureaux de vote, soit 6 jours avant la fin de la période électorale.
- Pour toute élection comtale,
résider dans le Comtat de Tolosa depuis soixante (60) jours révolus et y posséder un bien immeuble au plus tard la veille de l'ouverture des bureaux de vote, soit 7 jours avant la fin de la période électorale.
Les candidats fourniront les justificatifs au Prévôt des Maréchaux pour les élections comtales, et au Lieutenant de Police pour les élections municipales, et ce, au plus tard un jour avant l'ouverture des bureaux de vote. Les candidats attesteront sur l'honneur, et sans possibilité de rétrodatation, du délai d'établissement dans le Comté. Les services de la Prévôté et de la Douane procèderont aux vérifications d'usage. Tout manquement manifeste aux conditions d'éligibilité invalide la candidature. Il constitue un délit & est passible d'une peine de (2) jours d'emprisonnement & d'une amende de cent (100) écus.
Divers liens utiles Demandes d'autorisation pour les lances Les casiers judiciaires des condamnés Liste des bannis et inéligibles | |
| | | Saradhinatra
Nombre de messages : 1591 Date d'inscription : 25/04/2008
| Sujet: Re: sauvegarde guide législatif Lun 30 Mar 2009, 12:40 | |
| - Citation :
- Art. 231-2 – De l’institution chargée de la procédure à l’amiable
- Spoiler:
Les Loctenentes et la Sergentariá de police doivent procéder à la régulation de certaines infractions grâce a la procédure à l’amiable lorsque celles-ci sont constatées à l’intérieur des conditions définies par l’article 231-1.
Ceux-ci doivent prendre contact avec l'auteur de l'infraction pour lui demander de régulariser sa situation. En cas d'esclavagisme, l'auteur doit retirer son embauche si celle-ci était non pourvue au moment de la constatation de l'infraction, ou indemniser l'employé lésé immédiatement. En cas d'escroquerie mineure, si les services de la prévôté se sont portés acquéreurs du bien constituant infraction, l'auteur doit racheter le bien vendu puis le revendre au prix défini par les services de la prévôté. Sinon, le règlement de l'infraction doit se faire par la remise en vente de l'objet à prix défini.
Ils doivent prévenir la victime de l'enclenchement de la procédure de régularisation et qu'une indemnisation est possible et sous quelles modalités. Une victime d'esclavagisme ne saurait bénéficier qu'une seule fois d'un dédommagement issu d'une procédure amiable.
Si l'auteur de l'infraction consent à régulariser sa situation, l'infraction est considérée comme résolue.
En cas de refus manifeste de l'auteur de l'infraction de procéder à une régularisation de sa situation, ou en cas d'absence de réponse dudit auteur dans les délais impartis (deux jours) malgré réception du courrier, ou bien encore en cas de non régularisation de la situation malgré une réponse positive, alors la procédure par amende forfaitaire est applicable.
Procèdure de réglement par amende forfaitaire - Citation :
- Art. 231-3 – De la procédure de règlement par amende forfaitaire
- Spoiler:
Les Loctenentes et la Sergentariá de police doivent, en cas de première infraction et échec du règlement amiable ou en cas de première récidive lorsqu’un règlement amiable a déjà été appliqué, avoir recours à une amende forfaitaire.
Pour les cas d'escroquerie (art. 123-1, art. 123-3, art. 123-4)
l’amende est de cinq écus, majorée de la différence entre le prix de vente constaté par la maréchaussée (saisie) et le prix maximum pour la vente sur le marché municipal.
Pour les cas d'esclavagisme, l’amende est de cinq écus majoré de la différence entre le salaire versé pour l'embauche et le salaire minimum prévu par le comté pour un emploi avec caractéristiques.
Le lieutenant ou sergent de la maréchaussée ayant diligenté l'enquête se verra en droit de percevoir l'amende en vendant sur le marché municipal un article au prix majoré du montant de l'amende par l'intermédiaire du mandat qu'il possède.
La procédure à suivre est semblable dans son déroulement à celle d’un règlement amiable.
En cas de refus manifeste de l'auteur de l'infraction de procéder à une régularisation de sa situation, ou en cas d'absence de réponse du dit auteur dans les délais impartis (deux jours) malgré réception du courrier, ou bien encore en cas de non régularisation de la situation malgré une réponse positive, l'infraction est considérée comme manifeste, et plainte est constituée auprès du Procureur qui peut instruire l'affaire.
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